La corruption active de la corruption passive doivent être traités différemment, car elles reposent sur des processus différents, mais la méthode de détection va reposer sur la même approche.
Découvrez ce qu’il est possible de faire.
La corruption active de la corruption passive doivent être traités différemment, car elles reposent sur des processus différents, mais la méthode de détection va reposer sur la même approche. Découvrez ce qu’il est possible de faire.
Pour la détection de signes de corruption active, on peut évidemment :
étudier les moyens de fournir des avantages en étudiant via des modèles data analytics les transactions comptables. On étudiera les flux financiers de l’entreprise pouvant financer potentiellement la corruption (notes de frais, dons, utilisations de consultants, abus de biens sociaux pour le compte d’autrui, Prestations de services…) comme défini par la loi Sapin II.
L’étude des effets ou des contreparties des corruptions sera possible en mesurant avec le Data Analytics les évolutions de certains indicateurs pour montrer des corruptions entraînant des effets positifs anormaux sur l’activité (hausses des ventes par exemple) ou une atténuation d’effets négatifs comme l’absence d’amendes ou de refus lors de contrôles. Nous pouvons vous aider à élaborer ces indicateurs.
La difficulté pour détecter la corruption passive va être l’impossibilité d’exploiter des données internes car les flux de corruption ne vont pas passer par l’entreprise.
On peut néanmoins :
Il existe de nombreuses donnés à exploiter en fonction de votre activité pour identifier ces effets.